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Irene Diwiak: Malvita.

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Roman.
Zsolnay, Vienne 2020.
304 Seiten; geb.; Euro 23,70 (A).
ISBN: 978-3-552-05977-1.

Irene Diwiak

Extrait

Ce roman très attendu d’Irene Diwiak se passe dans la Toscane d’aujourd’hui. Christina, vingt ans et des poussières, se rend à la demande de sa mère au mariage de sa cousine Marietta pour prendre en photo la parentèle qu’elle ne connaît pas encore. La photographe prévue à l’origine a disparu sans laisser de traces. Christina accepte sans enthousiasme, se disant que le changement d’air et le cachet lui feront du bien. Sa seconde cousine, Elena, vient en voiture de sport la chercher à la gare et la conduit à la villa Esposito, la propriété familiale un peu à l’écart. Peu à peu, elle se rend compte que sa parentèle – composée de l’oncle Tonio, de la tante Adelheid, de Marietta, d’Elena et de son cousin Jordie - est non seulement fortunée, mais franchement riche. Le lendemain, elle fait une virée avec Jordie et tombe sur le cadavre de la photographe disparue, une des anciennes amies de Marietta. Les cousines ne semblent pas particulièrement touchées par sa mort. Ensuite, les événements fantasques se bousculent. Lors de la fête de la veille des noces, Christina apprend que la riche Marietta travaille comme femme de ménage à la banque où elle a fait la connaissance de son fiancé Marcello, le patron de la banque. Quand Christina, ivre, se met à danser toute seule, Marietta panique et la fête s’achève brutalement. Christina veut à tout prix s’en aller, mais semblable à Alice au Pays des Merveilles, elle finit par faire une importante découverte – à la différence qu’elle ne suit pas un lapin mais Paola, la grosse chatte de Jordie.

Irene Diwiak laisse libre cours à son imagination. Sur un ton ironique bien maitrisé et à travers d’une galerie de personnages assez chargés, elle dessine les abysses de la riche famille des Esposito. Il s’agit de l’inégalité entre les couches sociales, mais également entre les genres. Les cultures machiste et féministe s’opposent ici irrémédiablement, leur radicalité absurde est dénoncée. Mais la question reste posée : la fin justifie-t-elle tous les moyens ? L’un des personnages résume ainsi sa pensée : « Si nous ne faisons pas ce qui est bon, du moins faisons ce qui est juste. Â»

Diwiak jongle magistralement avec les genres du policier et du thriller. Dans un style ironique qui subjugue dès le début, elle nous propose une satire sociale réussie et distrayante.

Version abrégée de la critique d’Angelo Algieri du 28 septembre 2020,
traduite par
Henri Christophe

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